OffShore, NearShore, OnShore,…

Il y a plus d’une décennie, la mondialisation a amené nombre d’entreprises à délocaliser dans des contrées lointaines le développement de leurs projets informatiques, d’abord dans un soucis d’économies financières, puis pour pallier à un déficit de main d’œuvre qualifiée en France.

Pour autant ce modèle OffShore, souvent bien plus contraignant et plus coûteux qu’il n’y paraissait initialement, s’est sensiblement transformé depuis ces quatre dernières années en une approche NearShore, c’est à dire plus près du client.

Il n’en reste pas moins que dans 99% des cas, le NearShore fait appel à des compétences techniques basées hors de France, dans les pays de l’Est ou au Maghreb, là où le taux horaire reste encore bien en deçà de ce qu’il est dans l’hexagone…

Certes la crise financière mondiale est passée par là, contractant les budgets d’investissement des entreprises, entraînant une adaptation à la baisse, souvent sensible, des taux journaliers pratiqués par les SSII auprès de leurs clients, et par conséquent de leurs marges.

Il est vrai que pour un décideur, qui tire les cordons de la bourse, devant comparer deux offres pour un même projet, l’une annoncée à 150K€ et l’autre à 40K€ pour le même nombre de jours, difficile de résister à la tentation ! De plus, il serait plus que déplacé de dénigrer les compétences techniques et la qualité du code des développeurs outre-France le plus souvent formés aux toutes dernières technologies dans de très bonnes écoles.

Evidemment, il serait encore bien difficile en 2015 de s’aligner sur les taux journaliers pratiqués dans ces différents pays, même si la tendance est inversée et que le salaire de tous ces informaticiens augmente rapidement (et donc leur tarification), mais il est tout à fait possible de s’en rapprocher !

Tout repose sur la conception et l’idée que l’on se fait du métier de développeur en France. De là s’est créée une certaine pénurie de main-d’œuvre dans notre pays, un turn-over important de ces hommes-clés, la compression des projets informatiques dans les entreprises, et de plus en plus de SSII françaises qui s’externalisent…

Si à 30 ans tu n’es pas Chef de Projet, c’est que tu as raté ta vie

Combien peut-on identifier de métiers liés à l’informatique : 50, 100, 200 ?! Et pourtant, à quelle échelle hiérarchique se situe le Développeur en France ? Et oui, tout en bas, à la 1ère marche… Certes, pour atteindre un sommet, il faut bien partir d’un point inférieur…
Cette non-considération du Développeur est très caractérisée à la France, ce qui est beaucoup moins le cas dans les entreprises anglo-saxonnes par exemple. Nous pouvons considérer aisément que dans un groupe d’individus ayant pour mission de réaliser au mieux les Projets qui sont engagés, il faut à minima un Chef. Et selon la densité de l’équipe, quelques sous-chefs, et sous-sous chefs,… La problématique en France, c’est que tout le monde reconnait qu’un Développeur mérite d’obtenir un bon salaire eu égard à ses années d’étude, son implication souvent illimitée et son talent parfois reconnu ; et que donc, par héritage, son supérieur hiérarchique doit être mieux payé (considéré) que lui. Et ainsi de suite dans l’échelle jusqu’au sommet. Après tout, une très grande majorité des entreprises fonctionnent ainsi depuis des siècles.

 

Seulement voilà : pourquoi un Développeur qui débute n’aurait-il pas de velléité à prendre un jour la place de son supérieur, ne serait-ce que parce qu’il a un salaire plus élevé que lui ? Surtout que dans nos écoles informatiques, on explique inlassablement aux futurs diplômés que le 1er graal à conquérir est le Sacro-Saint poste de Chef de Projets que l’on obtient général au bout de 2 ou 4 ans de bons et loyaux services de codeur. On a même été contraint de créer des postes de Chef de Projets Junior, Junior+, Sénior, Sénior+,… Et de se retrouver dans un grand groupe et ses 4000 informaticiens à n’avoir à peine que 10% de faiseurs/créateurs (développeurs) contre 90% de donneurs d’ordres.

Il faut en effet sans cesse renouveler le tissu de base et produire de plus en plus de développeurs pour remplacer celui de 27 ans qui vient de passer Chef de Projet Junior. Et s’il n’y en a pas assez en France, et bien allons les chercher ailleurs…

Développeur, cet être si obscur…

On naît Développeur comme on naît Musicien ou Dessinateur. Le métier est bien sûr à la portée de toute personne à la tête normalement constituée, mais peu peuvent prétendre en posséder le don.
Il faut être avant tout passionné, curieux, créatif, obstiné ; le développeur est un homme de l’ombre dans une entreprise, celui qu’on ne voit quasiment jamais, la tête penchée sur son clavier et son écran. Et pourtant sans lui, AUCUN des autres métiers de l’informatique n’existe ; sans logiciel, un ordinateur reste muet.

Au même titre qu’un musicien ou qu’un sportif de haut-niveau, le développeur doit sans cesse rejouer ses gammes à longueur de journée et améliorer ses performances pour rester constamment à niveau. On ne peut lui imposer moralement des horaires ou des jours définis de travail ; un Développeur est un artiste au pouvoir de concentration immense, on ne peut l’interrompre dans son travail en cours. Il crée quelque chose qui lui est propre, qui lui ressemble, qui lui appartient. Développeur est quasiment le seul métier dans l’informatique (avec l’infographiste) où les droits d’auteur sont reconnus et protégés. Oui, un logiciel, quel qu’il soit, est une œuvre d’art, tout un symbole et une reconnaissance !

SSII, décideurs, donneurs d’ordres, cette offre est pour vous !

Vous recherchez un développeur expérimenté et sérieux, vous souhaitez améliorer vos marges, faire une meilleure offre que votre concurrent, alors lancez-vous dans le NearShore, mais chez nous, en France !

 

Alors que le TJM moyen d’un développeur .NET Senior est de 350€/450€ sur Paris et de 270/330€ en Province, je vous propose mes services pour 190€ maximum, voire 150€ selon le forfait ! Comment cela est-il possible ? Demandez à un développeur s’il préfère travailler de chez lui, les pieds dans l’eau ou le bonnet de montagne rivé sur la tête, proche des siens, sans aucune contrainte de transport, libre de travailler selon son organisation, sans chef constamment sur le dos,… Bien plus qu’on ne le pense sont prêts à échanger une augmentation de salaire (déjà souvent assez confortable, ils ne sont certainement pas à plaindre) contre une amélioration sensible de leur qualité de vie !

 

Les technologies en 2017 permettent aisément une organisation de travail externalisée. Comment peut-on prétendre accepter d’externaliser un Call-Center à plusieurs milliers de kms de son entreprise, et ce grâce essentiellement à l’informatique, et contraindre l’informaticien qui aide au développement de ces infrastructures à rester dans un bureau en haut d’une tour !

 

A vous de convaincre votre Direction ou votre Client avec les arguments suivants :

 

  1. Economie sur votre budget de développement ou augmentation de votre marge de 40%
  2. Un développeur à l’expérience reconnue, sérieux, qui a déjà fait largement ses preuves
  3. Plusieurs clients (Grands Comptes) ayant déjà fait appel à nos services depuis 2004, toujours avec nos équipes hors site
  4. Toujours un interlocuteur de niveau Directeur de Projet sur tous les Projets
  5. Des déplacements dans les locaux du client durant toutes les phases du projet, de l’expression de besoins jusqu’à la livraison en Production
  6. Economie sur les M2 dans l’entreprise, plus besoin de bureau, de PC, de licences de développement
  7. Aucune contrainte horaire imposée au développeur (il peut continuer son travail après 18h, travailler la nuit, tôt le matin, …)
  8. Une qualité de service et de résultat largement accrue (gain sur les délais de développement > 20%)
  9. Une disponibilité sans faille et un respect des délais hautement maitrisable
  10. Une SSII française, basée en France et proche de vous, où que vous vous trouviez.

Je conviens qu’il s’agit pour moi de vous convaincre et d’instaurer la confiance, seule gage de réussite dans un projet. Si vous hésitez encore, confiez-moi un simple projet et vous vous ferez alors votre propre opinion ; il faut bien commencer par un début.

 

Bienvenue chez moi !!

Ils m'ont fait confiance